Mr Nice Guy 💻📷 de Jennifer Miller et Jason Feifer
Note global ⭐⭐⭐⭐
Narration ⭐⭐⭐⭐
Descriptions ⭐⭐⭐⭐
Personnages ⭐⭐⭐⭐
Suspens ⭐⭐⭐
Originalité ⭐⭐⭐⭐⭐
Couverture ⭐⭐
Rebondissements ⭐⭐⭐⭐
Je remercie Babelio et cherche midi édition pour
l'envoi de ce livre.
Lucas commence un nouvel emploi de Fact-checker au
magazine empire. Un soir, après le travail il rencontra Carmen dans un bar. Une
jolie brune envoûtante. Ils passèrent la nuit ensemble sans vraiment connaître
l'identité de l'autre. Quand un jour, en pleine soirée mondaine tout le monde
parle de l'article de Carmen Kelly, la journaliste de la chronique sexuelle
chez Empire. Lucas va bien évidemment lire cet article et : quelle
surprise va-t-il avoir en se reconnaissant dans le pseudo de Mr Nice Guy que
lui aura attribué Carmen, dans sa chronique peu élogieuse ! Bien entendu,
celui-ci ne va pas en rester là : il ripostera à son tour ! Cela va
tellement plaire que nos deux protagonistes seront obligés de se revoir, afin
de continuer d'alimenter ses échanges.
Nous suivons donc les aventures de Lucas, qui
n’est pas encore très à l'aise avec la vie New Yorkaise. Celui-ci se
reconstruit petit à petit, même si malgré le souvenir de Mel vient le hanter
par moment. Mel était la seule femme avec laquelle il avait eu une expérience
sexuelle. Sauf qu'aujourd'hui, à New York il en est tout autrement ! De
par les articles de Carmen, mais aussi d'autres expériences, il va apprendre
qu'il n'est pas un si bon coup que ça ! Cela m'a d'ailleurs beaucoup
amusée.
Carmen n'est pas une tendre et ne va pas mâcher ces
mots dans ses chroniques. Afin de contrer Carmen, Lucas va tout mettre
en œuvre pour s'améliorer et c'est là que l'histoire devient vraiment
intéressante.
Si au début les punchlines entre les personnages m'ont
beaucoup amusées, j'ai fini par trouver cela lassant. De plus, les rendez-vous
n'était pas forcément mis en valeurs dans les descriptions, ce que je trouve
dommage. Je n'ai donc pas senti l'alchimie entre nos deux protagonistes
principaux, ni avec certains secondaires qui ont un rôle important dans
l'histoire. L'alchimie est finalement arrivée au bout de 274 pages, cela est
long, surtout pour un roman de 470 pages !
Nos personnages évoluent dans un monde où n'existe que
le paraître. Être soi-même est limite mal vue. Le contexte de l'histoire le
veut, mais je vous avoue avoir beaucoup de mal avec cela. Je pense qu'à
travers la culture de l'apparence en tout genre, nos auteurs critiquent cet
aspect en nous montrant des scènes toutes plus fausses les unes que les
autres !
À travers l'histoire les auteurs nous montrent que l'on
ne rentre pas tous dans des cases. Il y a diverses façades de notre
personnalité et de notre vie que l'on ne peut pas juger, et qu'il faut accepter
chez les autres. Avec beaucoup d'humour, Jennifer et Jason dénoncent aussi
les manigances des plus grands et les mensonges journalistiques.
C'est un beau livre comique
sous fond de romance qui à travers cela nous fait passer plein de messages
intéressants. Une bonne petite lecture détente qui malgré tout fait réfléchir.
Lien d'achat Amazon
Lien d'achat Amazon
Commentaires
Enregistrer un commentaire