Ni No Kuni de Kuze Ran Tome 1
Couverture ⭐⭐⭐⭐⭐
Illustrations ⭐⭐⭐
Pédagogie ⭐⭐⭐⭐
Originalité ⭐⭐⭐⭐⭐
Résumé :
Pour Tasuku Arisawa, la vie tourne autour du club de Kendo, dans lequel
il est très engagé, et de son petit frère Tsubasa, la seule famille qu’il lui
reste depuis la mort de leurs parents. Un jour, un mystérieux homme vêtu de
noir l’attaque, et le lycéen se retrouve projeté dans le monde parallèle de Ni
no Kuni ! Les habitants de ce royaume enchanteur – où la magie est omniprésente
– semblent voir en Tasuku un sauveur destiné à triompher du belliqueux roi Sham
et de sa horde de démons… Mais quels secrets se cachent réellement à Ni no Kuni
?
Avis :
J'ai lu Ni No Kuni de Ran Kuze publié chez Mana Books. Ce manga est inspiré du jeu Level-5.
Dans cette histoire, nous suivons Tasuku. Celui-ci est orphelin et veille au grain sur son petit frère Tsubasa depuis la mort de leurs parents. Mais un jour un homme encapuchonné va l'attaquer et il va atterrir dans le monde de Ni No Kuni. Cette attaque n'a pas été menée au hasard, Tasuku a le pouvoir de l'unimagic. Il est donc le seul capable de libérer le peuple des démons générés par le seigneur Sham.
Ne connaissant pas du tout l'univers du jeux vidéo cela ne m'a pas empêché d'être happée par cette lecture. J'ai d'abord été immergée dans l'amour fraternel qu'éprouve Tasuku envers son petit frère. Les liens qui les unissent m'ont beaucoup touchée.
De plus l'univers de Ni no Kuni et les personnages le composant sont très intrigants. Je me pose un milliard de questions sur les personnages et leurs différentes caractéristiques.
L'histoire est très riche en rebondissements. Je n'ai personnellement pas eu le temps de m'ennuyer. Entre apprentissage de la magie, questionnement et bataille j'ai été bercé dans ce monde.
Les graphismes sont quant à eux assez simplistes. Je m'attendais à
quelque chose de plus détaillé. Je ne suis malheureusement pas fan du trait
composant les différentes illustrations.
C'est toutefois un premier tome fort sympathique. J'ai hâte de voir ce
que nous réserve le deuxième qui clôturera cette duologie des plus originales.
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