Mon coloc d'enfer tome 11 de Keiko Iwashita


 
Note globale 💖💖💖💖💖
 
Narration ⭐⭐⭐⭐⭐
Personnage ⭐⭐⭐⭐⭐
Suspens ⭐⭐⭐
Couverture ⭐⭐⭐⭐⭐
Illustrations ⭐⭐⭐⭐⭐
Pédagogie ⭐⭐⭐⭐⭐
Originalité ⭐⭐⭐⭐
 
 
A peine sortie, je me suis jetée sur le dernier opus de Mon coloc d’enfer de Keiko Iwashita.
 

Résumé du tome 1 :
Miko est lycéenne. Ses parents devant s'occuper de sa grand-mère malade, elle se retrouve à faire de la colocation dans une grande maison appartenant à son oncle.  Non seulement elle n'est pas habituée aux tâches ménagères, mais en plus ses colocataires sont tous des adultes un peu bizarres. Le plus âgé d'entre eux, Matsunaga, fait un peu peur à Miko mais s'avère en réalité être quelqu'un de très prévenant.
Bienvenue dans le premier épisode de cette joyeuse histoire de colocation où une lycéenne a le cœur qui bat pour un homme plus âgé qu'elle.

 
C’est avec beaucoup de tristesse que je dis au revoir à la série avec ce onzième tome. J’étais très impatiente de le lire et en parallèle je n’avais pas envie de voir l’histoire se terminer. Je suis tombée encore plus amoureuse du personnage de Ryô et j’ai apprécié suivre chaque membre de cette colocation. Voir évoluer Miko et Matsunaga a été un véritable plaisir.
 
Dans Mon coloc d’enfer, nous ne sommes pas seulement plongés au sein des inquiétudes d’une lycéenne face à ses premiers amours : nous intégrons une famille ou chacun trouve sa place. Nous sommes dans un lieu où l’entraide et les chamailleries du quotidien poussent chaque membre vers le haut.
 
Cette histoire s’est avant tout de la bienveillance, de la douceur et du bien être à la pelle. Chaque tome a su m’émouvoir au travers de ses dialogues et des émotions que dégagent les illustrations.
 
Si vous hésitez à vous lancer dans l’univers du manga : Mon coloc d’enfer est idéal pour commencer.
 
Vous l’aurez sans doute compris mais j’ai un amour inconditionnel pour cette saga.

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