La reine sans royaume de Holly Black


 

Note globale ⭐⭐⭐⭐
 
Narration ⭐⭐⭐⭐⭐
Descriptions ⭐⭐⭐
Personnages ⭐⭐⭐⭐
Suspens ⭐⭐⭐⭐
Originalité ⭐⭐⭐⭐
Couverture ⭐⭐⭐⭐⭐
Pédagogie ⭐⭐⭐⭐
 
J’ai lu « La reine sans royaume » qui est le dernier tome de la trilogie « Le peuple de l’air » de Holly Black.
 
Résumé du tome 1 :
Jude a 17 ans et vit à la Haute Cour de Domelfe dans le royaume de Terrafæ. Enlevée au monde des mortels lorsqu’elle n’était qu’une enfant et élevée avec ses sœurs parmi les puissants, elle a appris à se protéger des sortilèges et à se battre à l’épée. Pourtant, elle subit jour après jour les moqueries et les insultes. Car elle n’est qu’une humaine, vouée à la mort, dans un monde où règnent les Fæs, créatures sublimes, immortelles… et cruelles.
Personne ne la hait plus que le Prince Cardan. Le plus jeune des héritiers de la couronne semble décidé à lui nuire. Jusqu’à la tuer ? Mais Jude, elle, est prête à tout pour gagner sa place à la cour et reprendre le pouvoir sur sa vie.
 
 
Ce troisième opus de la saga se dévore à une vitesse folle. Il est difficile de faire plus Page Turner !
 
 J'ai adoré retrouver la multitude de protagonistes que l'on rencontre dans les opus précédents et suivre l’évolution personnelle de chacun d’entre eux. Grâce à cela nous allons de révélations en révélations et de surprises en surprises.
 
Malgré tout, la fin du récit se dessine devant nous et l'histoire se termine comme je l’imaginais. Toutefois, je trouve que Holly Black a une plume superbe qui ne s'embarrasse d'aucune description superflue. Et malgré les nombreux dialogues, le monde se peint facilement dans notre imaginaire. Cela est vraiment incroyable !
 
J'ai pris plaisir à découvrir cette trilogie qui est pour moi un parfait condensé d’histoires familiales, d’amitiés et de magies. L’ensemble nous emmène vers une belle morale qui met en avant l’amour sous toutes ses formes.
 
Ce troisième tome m'a fait passer un agréable moment, même si en refermant le livre j'ai eu un sentiment de trop peu. Il me manque un petit quelque chose qu’il m’est impossible de définir pour le moment.

Commentaires

Articles les plus consultés